Tourisme Bas-Saint-Laurent

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5 repas à se rouler par terre

Laura Martin, rédactrice

Rédaction

Laura Martin, she shares her crushes and discoveries with us for our greatest happiness!

Après avoir coupé le sucre en janvier, relevé le défi du mois sans alcool, fait une cure détox et testé le jeûne intermittent, on a vraiment envie ce printemps de se mettre du délicieux dans la bouche. Sans culpabilité. Que pour le plaisir. Que pour se gâter. Que pour honorer ce que les ingénieux restaurateurs du Bas-Saint-Laurent ont à nous offrir. Au menu : cinq plats à déguster aux meilleures tables sur notre territoire. Miam, miam.

Le bol de riz croquant de Bernadette Épicerie et dinette

Dès son ouverture en décembre 2023, le restaurant louperivois a été assailli par la nostalgique clientèle du mythique bar Au Vol de nuit, impatiente de découvrir la conversion de ce bâtiment longtemps abandonné.

Non seulement la lumineuse dinette fait oublier les sombres soirées à danser sur du Pearl Jam, mais elle ravit avec son menu composé d’ingrédients locaux.

Chaque midi, un choix de deux plats est offert, dont un surprenant bol de riz croquant qui change de garnitures au gré des arrivages et de l’humeur du chef.

Sous la dent, l’explosion de saveurs est parfaite. (N’hésitez pas à prendre l’œuf mollet en extra !)

Bernadette, épicerie et dinette

La soupe de fruits de mer du Café Azimut

Certains expatriés reviennent à La Pocatière que pour aller partager un repas sur la terrasse de ce chaleureux café du centre-ville et saluer la sympathique propriétaire.

Célébrant son 35e anniversaire en 2024, l’endroit compte sur un noyau de fidèles qui peuvent réciter son menu par cœur.

En plus du tartare de saumon, qui pourrait donner une classe de maître à bien d’autres, la soupe de fruits de mer s’avère incontournable.

Que demander de plus que des crevettes, des pétoncles et des poivrons dans une riche sauce rosée ? Qu’on la recouvre d’une pâte feuilletée. Ici, on le fait !

Café Azimut, La Pocatière
Café Azimut, La Pocatière

Une crêpe bretonne du Crêpe Chignon

La crêpe « C’est la mienne » aux canneberges, pommes, cannelle et cheddar. Voilà, j’ai choisi. Mais n’importe quelle autre galette inscrite au menu de ce pilier des réveils rimouskois aurait mérité d’être citée.

En plus des 8 sortes servies le matin et des 18 sortes du midi, on peut personnaliser notre plat à notre guise.

Dans ce restaurant animé d’une joyeuse excitation, les crêpes sont souples et fines comme de la soie, loin des pancakes américains boursouflés.

L’épineuse question à trancher : sucré ou salé ? Après, laissez-vous aller.

Crêpe chignon, Rimouski

Le boudin de La Porte arrière

Ce n’est plus un secret pour personne à Rivière-du-Loup. Le boudin de La Porte arrière se trouve dans une classe à part.

Cette merveille a même réussi à convertir des personnes répugnées, qui s’étaient juré de ne jamais succomber au sang de porc de leur sainte vie. C’est dire l’effet qu’il a.

Ce plat revient sur la carte, chaque semaine, sans jamais prendre congé. Qu’il soit accompagné de chou de Bruxelles et d’ail noir ou de pâtes à la ricotta, il continue d’agrandir son cercle de disciples. Que plus personne ne le boude !

La Porte Arrière, Rivière-du-Loup
La Porte Arrière, Rivière-du-Loup

Une bavette de bœuf de La Brigade 225

Les restaurants de grillades ne sont pas légion, en région. Ici, à la table de l’Hôtel Rimouski, les viandeux peuvent mâcher dans le bonheur leur dose de protéines, saisie sur le charbon de bois d’érable.

Toutes les pièces de bœuf sont certifiées Angus et vieillies sur place plus de 40 jours.

Vous avez quelque chose de gros à célébrer, avec un budget conséquent ? Le steak tomahawk à partager peut être une excellente idée. Si, en plus, vous avez une vue sur le soleil qui se couche sur le fleuve, vous ne serez pas près d’oublier votre soirée.

La Brigade 225, Hôtel Rimouski
La Brigade 225, Rimouski